Pyrrhus choisit Pyrrhus le premier sur la muraille, ce qui lui permettra de conduire un assaut à Lilybée (en utilisant les règles d'assaut de Pyrrhus Imperator), et remporter sa campagne.
Rome Sacrifie aux Dieux (pour 4 PB) pour ôter la Fortuna à son ennemi.
En Italie, c'est le statut quo, les légions trop affaiblies pour prendre l'offensive et les chefs épirotes d'envergure insuffisant pour reprendre l'offensive, surtout avec autant de terrain à couvrir et leur espoir de parvenir enfin à prendre Rhegium.
Une bataille navale dans le détroit de Messine tourne au désavantage des épirotes, qui perdent la moitié de leur flotte, mais Pyrrhus n'a pas l'intention de quitter Sicile de toute façon. La clé de la victoire est là.
Ainsi avance-t-il sur Lilybée. Les troupes épirotes sont deux fois supérieurs en nombre à leur ennemi récemment vaincu, et si Lilybée tombe, toute l'île est entre les mains du roi épirote. Les premiers travaux de sape font quelques victimes de chaque côté, Pyrrhus peste aux délais, puis les rampes et les tours sont enfin prêts, et l'élite de l'armée pyrrhique monte à l'assaut, leur roi en tête.
Est-ce l'impatience de Pyrrhus, son terrible hybris, qui lui a coûté la victoire ? Les engins de siège sont défaillants, mal préparés, et les défenseurs font des ravages. C'est le catastrophe, et Pyrrhus échappe à peine du carnage, il a failli y laisser la vie !
Le roi d'Epire retourne à Agrigente. Lorsqu'il apprend que le siège de Rhegium a été à nouveau un échec, il est abattu....pour quelques semaines seulement !
Pendant la trêve hivernale, les puissances recrutent, mais les batailles ont été féroces et les candidats sont peu nombreux. Rome parvient à reconstituer une légion, mais ne prendra pas l'offensive. Barca est sauvé par l'or carthaginois, qui lui permet de rafler les quelques mercenaires disponibles au nez et à la barbe de son adversaire. Quant à Pyrrhus, son trésor appauvri, et le manque de renforts provenant de son pays natal, le place à la tête d'un ramassis hétéroclite de troupes étrangères à sa cause. Cela va devoir pourtant suffire !
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire