Le saga des Hommes Singes de l'Espace au Congo a généré, au cours de ce printemps mouvementé, presque autant d'intérêt que le Covid-19, il faut dire que l'enjeu était de taille.
L'alliance franco-congolais se cristallisant autour des récents et éclatants succès du Colonel Mbungo, une force hétéroclite de trafiquants de drogue héros de la résistance, de militaires congolais à la retraite, et de forces françaises - équipés d'un VAB, rien de moins - ont lancé une attaque frontale contre leur velu ennemi.
Les Hommes-Singes se sont servis d'une tactique jusqu'alors inconnu, la colonne d'assaut. Celle-ci s'est ruée sur le pont, l'armure personnel des simiens extraterrestres formant une efficace protection contre la multitude de tirs. Malgré une manœuvre osée du VAB, qui a permis de créer une barrière de protection au milieu d'un des deux gués de la rivière, les pertes ont monté en flèche une fois les envahisseurs de l'autre côté du pont et leur vaisseaux spatial sur le flanc congolais. Malgré la mise hors combat de trois de ces redoutables géants, les franco-congolais ont cédé sous la pression.
Une victoire simiesque, donc, à cette nouvelle partie de Black Ops, que Pierre a célébré en dansant bras ballants, émettant des grognements sonores avant de dépouiller ses cochons d'Inde.
Les Hommes Singes sont donc durablement installés dans notre monde, et une question existentielle balaie une planète désormais pleinement informée de leur existence : si, au lieu que les hommes descendent du singe, les singes nous ont crée ? La réponse définitive prochainement, dans un tweet de Donald Trump.
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